« Malheureusement, ce qu’on a vu, et ce qu’on voit encore, pendant la crise du covid ça n’a pas été une augmentation des moyens. Ce sont les équipes qui se sont organisées. Il n’y avait pas vraiment de stratégie politique. Pourquoi ferait-on au long cours ce qu’on n’a pas fait pendant la crise ? Je suis plutôt pessimiste. Ce qui nous reste actuellement pour continuer à faire vivre la pédopsychiatrie, c’est de tout faire pour survivre : par des collectifs, par des associations…